Actualité médicale


Un programme d’augmentation du nombre de professionnels de santé à l’horizon 2030

14/12/2022

Plusieurs contrats pour la mise en oeuvre du Programme d'augmentation du nombre de professionnels de la santé à l'horizon 2030" ont été, signés, lundi à Béni Mellal, entre le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l'Innovation et dix facultés de médecine et de pharmacie relevant de sept universités publiques.

Paraphés par le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l'Innovation, Abdellatif Miraoui et les présidents et doyens des Universités Mohammed V de Rabat, Hassan II de Casablanca, Sidi Mohammed Ben Abdellah de Fès, Cadi Ayyadde de Marrakech, Hassan 1er de Settat, Abdelmalek Essaadi de Tanger et l'Université Ibn Zohr d'Agadir, la signature de ces contrats intervient en application des Hautes Directives Royales relatives à la généralisation de la protection sociale et dans le sillage de la mise en oeuvre du programme d'augmentation du nombre de professionnels de la santé à l’horizon 2030. Ces contrats s’insèrent, également, dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations du nouveau modèle de développement ainsi que celles afférentes au programme gouvernemental, dans son volet relatif à l’amélioration de l'accès aux services de santé.

Dans une déclaration , M. Miraoui a souligné que la signature de ces contrats ambitionne de hater la cadence de mise en oeuvre du chantier de la généralisation de la protection sociale à travers notamment l’activation du programme d'augmentation du nombre de professionnels de la santé d’ici 2030, rappelant que l’objectif visé à travers ces contrats est la formation de médecins hautement qualifiés ainsi que le doublement des diplômés des facultés de médecine et de pharmacie et de médecine dentaire.

 

Source : MAP

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M. Ait Taleb: Le Maroc soutient pleinement l'initiative de l’UA en faveur du développement d’une santé communautaire

13/12/2022

Le Maroc soutient pleinement l’initiative de l’Union africaine (UA) en faveur du développement d’une santé communautaire forte capable de renforcer la résilience des systèmes de santé, de contribuer à la sécurité sanitaire régionale et continentale et de promouvoir les efforts de développement durable, a affirmé, lundi à Kigali, le ministre de la Santé et de la Protection Sociale, Khalid Ait Taleb.

Intervenant lors d’un évènement sur l’« Institutionnalisation du personnel de santé communautaire vers un système de santé communautaire durable et résilient en Afrique » en marge de la 2ème Conférence Internationale sur la Santé Publique en Afrique prévue mardi à Kigali, le ministre a mis en avant la première conférence africaine de haut niveau sur la réduction des risques organisée au Maroc il y a trois semaines, sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, et qui a été sanctionnée par la déclaration politique de Marrakech, qui a permis de mettre en exergue les spécificités qui caractérisent la dynamique du secteur de la santé dans sa confrontation dynamique et perpétuelle aux risques les plus divers.

Elle a également réussi à proposer les axes de développement nécessaires pour édifier un système de santé résilient et durable, à l’échelle nationale comme à l’échelle continentale, a souligné le ministre.

Si j’ai évoqué cette conférence, c’est pour citer le message de Sa Majesté le Roi qui souligne et réitère l’engagement du Maroc à soutenir tous les efforts dont le but est de renforcer le niveau de bien-être des populations. Ainsi Sa Majesté le Roi a affirmé dans ce message que « la santé du citoyen est une priorité qui doit être inscrite dans toute coopération Sud-Sud, qui se veut efficiente et vise à favoriser le rapprochement et la solidarité entre les peuples », a ajouté M. Ait Taleb.

 

Source : 2M

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Des médecins britanniques présentent un traitement pionnier contre une forme de leucémie

12/12/2022

Des médecins britanniques ont défendu l'efficacité d'un traitement novateur contre une forme agressive de leucémie, cancer le plus courant chez l'enfant, après une entrée en rémission de la première patiente à en bénéficier.


Alyssa, une adolescente de 13 ans, a été diagnostiquée avec une leucémie lymphoblastique aigüe T en 2021. Son cancer du sang n'a toutefois pas répondu aux traitements conventionnels, notamment la chimiothérapie et une greffe de moelle osseuse.

Elle a donc participé à un essai clinique au Great Ormond Street Hospital for Children de Londres pour un nouveau traitement qui utilise des cellules immunitaires génétiquement modifiées provenant d'un volontaire sain.

En 28 jours, elle était en rémission, lui permettant de recevoir une deuxième greffe de moelle osseuse pour restaurer son système immunitaire, ont expliqué les chercheurs ce week-end lors de la réunion annuelle de la Société américaine d'hématologie.

Six mois plus tard, elle "se porte bien" et est de retour chez elle à Leicester, dans le centre de l'Angleterre, où elle bénéficie d'un suivi médical.

 

Source : 2M

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Santé : le conseil de la concurrence dresse un tableau noir du secteur des cliniques privées

12/12/2022

Chèque de garantie, paiement au noir, surfacturation, non-respect des normes techniques, non-affichage des tarifs... .

Le Conseil de la concurrence vient de publier son avis relatif au fonctionnement concurrentiel du marché des soins médicaux dispensés par les cliniques privées et les établissements assimilés. Il a relevé plusieurs dysfonctionnements, et même des irrégularités, au sein de ces établissements, relève le quotidien Al Akhbar dans son édition du lundi 12 décembre.

Selon le document, qui s’appuie sur une étude réalisée par le ministère de la Santé durant la période 2018-2022, près de 70% des cliniques privées sont non-conformes aux normes techniques. Et, malgré la désuétude des normes techniques sur lesquelles se basent ces contrôles, souligne le quotidien, le taux de non-conformité détecté est à ce point alarmant qu'il représente de gros risques d’infections pour les patients hospitalisés.

De même, poursuit le quotidien, sur le volet des inspections, il ressort que les règles d’affichage du conventionnement à l’AMO et celles afférentes aux tarifs appliqués sont très peu respectées. En effet, 80% des cliniques inspectées en 2022 ne respectent pas les règles d’affichage liées au conventionnement et 90% ne respectent pas les règles d’affichage en matière de tarification.

 

 

Source : Le360

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